Valse

21.7.09

A l’allant de la valse de nos jours, en un tour, nous dansons en harmonie ; en deux tours, nous perdons la mesure, déboussolés. L’un dit de l’autre, en proie au spleen, qu’il ne peut comprendre son impuissance à se caler sur ses pas lents. L’autre dit de l’un, en quête d’espoir, qu’il ne peut contenir ses prestes mille temps. Entre deux, les ardeurs tournoient non sans quelques attentions. Et demain, inconstants, de cavaliers, nous permuterons.


Dans le même tiroir