La bascule

24.6.17

À l'heure de la bascule, la terre lâche un soupir là où plus rien ne parvient à créer aspérité.
Tout glisse dans l'uniforme. La nuit dans son feulement se moque des corps nus.
L'été se gratte la gorge et recouvre l'air d'une chape de plomb.

Plus rien à attendre que le rêve d'un orage de perles.

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