Parfois ce sont de vieux visages
qui viennent trembler à la fenêtre.
Sans prévenir une autre image
remplace le cadre du réel.
Un soleil pour ces autres
sous un mirage qui les brouille.
Des anciens, des oubliés
revenus de l’œil de la machine,
tambour battant la mémoire.
qui viennent trembler à la fenêtre.
Sans prévenir une autre image
remplace le cadre du réel.
Un soleil pour ces autres
sous un mirage qui les brouille.
Des anciens, des oubliés
revenus de l’œil de la machine,
tambour battant la mémoire.
- 29.7.18