À vos souhaits

20.10.24

On fréquente le ciel 
depuis tellement de temps,

depuis tellement d’espaces
dépliés à nos yeux ahuris

qu’on en vient à oublier 
que souvent on le perd de vue,

comme aujourd’hui,

penchés que nous sommes
sur ce pauvre matin qui éternue.

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