À la faim
25.4.19À partir de dix-huit heures,
on se demande si on mange ici,
au bureau,
car c’est l’heure
où la faim pointe les ventres.
Je réponds que non,
je mange chez moi,
merci bien,
c’est gentil de proposer,
comme tout bon
misanthrope mondain*
18h35 #AuBureau
*C’est ainsi que se qualifiait le regretté Jean-Pierre Marielle